• La paresse :
  
  Moi ? Paresseux ? C'est plutôt le contraire. Je suis un vrai bourreau de travail et engagé à 100% dans ce que j'entreprends. Je jongle sans cesse entre ma vie à l'Institut et dans mes affaires. J'ai parfois l'impression de ne pas avoir une minute à moi. Mais j'aime cet action, le fait d'avoir toujours un millier de choses à faire. Mon cerveau est cesse en activité. Je mentirais en disant qu'il ne m'arrive jamais de saturer, de vouloir simplement ne rien faire. Mais cela reste très rare. Je crois que j'ai été habitué à ce mode de vie, à ce rythme effréné, à cette pression. Je deviendrais certainement dingue si cela devait s'arrêter.
  
  
• L'orgueil :
  
  Hum, alors là c'est quelque chose que je ne peux pas nier. Quoiqu'il s'agit davantage de fierté que de d'orgueil. Je déteste me trouver en position de faiblesse, surtout émotionnellement. J'adore aider, me sentir utile... mais pas l'inverse. Je cherche toujours à me débrouiller seul. J'ai réussi sans personne, je suis devenu un homme important, l'une des plus grosse fortune du monde. Et je ne le dois qu'à moi même, à ma volonté, à ma persévérance. Et j'en suis fier.
  
  
• La gourmandise :
  
  Ni plus, ni moins. Enfin, il faut avouer que je n'ai jamais manqué de rien. Je suis né avec une cuillère en argent dans la bouche, comme on dit. Je suis habitué aux grands restaurants du monde entier. Cependant, j'aime les petits plaisirs simples. Un fruit bien mûr ou une glace en été, une verre de vin autour du feu en hiver. Je dois avouer que je suis assez traditionnel dans ce domaine, cela ne fait définitivement pas partie de mes priorités.
  
  
• La luxure :
  
  Un homme ne parle pas de ces choses là voyons. Mais puisse que vous insistez... Oui, j'aime beaucoup le plaisir de la chair. J'aime plaire, j'aime séduire. Certains disent de moi que je suis un Don Juan. C'est peut-être vrai. Ou peut-être que je tombe facilement amoureux. Et un amour platonique ne m'intéresse en rien. Quoi de plus délicieux que de faire naître le désir chez votre partenaire. Une femme qui me résiste, qui me rend fou est presque certaine d'obtenir tout mon intêret, voire plus.
  
  
• L'avarice :
  
  Alors là, pas du tout. Je suis à l'opposé de cette définition. Je suis d'une grande générosité. Je fais partie d'un grand nombre d'associations humanitaires. Je n'ai aucun problèmes d'argent, je vis très confortablement... alors j'en profite pour aider ceux qui en ont besoin. Cela me semble normal, logique et aussi vital pour moi. Je ne pourrais vivre sans aider les autres.
  
  
• La colère :
  
  Une chose est sûre, il ne faut pas trop me chercher. J'ai un fort caractère, et le revendique. Je défends toujours mes idées haut et fort et je suis prêt à me battre pour elles. Je peux me mettre dans des colères froides si on touche aux gens que j'aime, amis comme amours. Mes prises de bec avec Logan restent encore légendaires à l'Institut. J'ai besoin d'exploser de temps en temps pour évacuer, et gare à qui se trouve là à ce moment.
  
  
• L'envie :
  
  Si envie il a eut, ce fut simplement au début de mon adolescence. Je refusais ce don, ne comprenait pas ce qu'il m'arrivait, ces ailes qui poussaient malgré moi. J'enviais alors les enfants normaux, j'enviais leur insouciance. J'aurais tant aimé être comme tout le monde, l'enfant que mon père aurait voulu, le digne héritier Worthington. Mais ce temps est, depuis bien longtemps, révolu. J'aime ma vie, j'aime ce que je suis, j'aime qui je suis. Je n'envie plus personne. Je suis moi, et cela me convient parfaitement.

• Phoenix : Okay, Jean et moi n'avons jamais été officiellement ensemble... mais je l'ai aimé de tout mon cœur. J'ai eu le coup de foudre pour elle à mon arrivée à l'Institut. Mais elle n'avait d'yeux que pour Scott... Pfff, franchement, qu'est-ce-qu'il a de plus que moi ? Je n'ai jamais cessé d'essayer de la séduire. Nous avons même échangé quelques baisers, donc certains eut des effets dévastateurs, mais aussi très agréable. Vous auriez vu la tête de Scott... Hum, un régal. Mais je n'eus jamais la chance de la compter parmi mes amantes. Jean, la femme que je n'aurais jamais, mais qu'une partie de moi aimera toujours.
  
  
  
• Candace Souther : Candy était une amie d'enfance. Nous nous sommes retrouvés, par hasard, près d’un night club de New York. Après de brèves mais heureuses retrouvailles, je l'ai invité à l’anniversaire Bobby. Cette soirée tourna vite au règlement de compte avec un groupe de motards, les Saints de Satan. Pas de répit pour les gentils mutants. A la suite de cette soirée, Candy me proposa de boire un dernier verre à son apparemment, il ne me fallu pas longtemps pour accepter. Nous avons commencé à nous fréquenter suite à cette nuit. Mais elle ignorait encore tout de ma nature mutante. Elle vit mes ailes pour la première fois lorsque mon oncle, cette enflure, la kidnappa. Cette épreuve nous a rapproché, elle connaissait maintenant mon 'secret'. Enfin, une partie. Elle ne savait pas encore que je faisais partie des X-men. Mais je ne put lui cacher bien longtemps. Elle subit de nombreuses menaces, et fut mainte fois en danger par ma faute. Je ne le compris que trop tard. Candy fut la relation la plus stable de ma vie. Je n'oublierai jamais le Nouveau Mexique et ce grand manoir dans lequel nous vivions. Je me dévouais corps et âme aux X-men et elle s'occupait de Worthington Industries. C'était parfait. Jusqu'à ce jour, le jour où elle me surprit en train d'embrasser Jean. Une dispute effroyable. Elle me quitta, furieuse. Le temps que je la retrouve, elle était... morte. Elle fut kidnappée et torturée par Hodge. La haine qui m'envahit à cet instant fut indescriptible. Oh oui, nous nous sommes battus. Oh oui, je l'ai tué. Décapité pour être plus précis. Et je ne regrette pas le moins du monde. Ma chère Candy. Si seulement j'avais su te protéger. Si seulement.
  
  
  
• Dazzler : Je ne sais pas vraiment quand Alison et moi avons commencé à nous fréquenter. Probablement après que les X-men aient essayé de la recruter. Notre relation se termina quelque temps après. De commun accord... ou avais-je embrassé Jean encore ? Non, je ne pense pas. Une idylle de passage en somme. Nous étions tout deux jeunes et attirés l'une par l'autre, autant en profiter. Enfin, elle rencontra Longshot, et ils sont maintenant heureux ensemble. Bien, c'est tout ce que je lui souhaite.
  
  
  
• Charlotte Jones : La vie n'a pas épargné Charlotte avant notre rencontre. Son mari était officier de police. Il trouva la mort alors qu’il rentrait avec chez lui son fils un soir après l’école. Ils furent pris entre deux feus au court d’un affrontement entre deux gangs rivaux. Le mari de Charlotte mourut sur le coup et son fils Timmy reçut une balle près de la colonne vertébrale, le laissant handicapé. Charlotte décida de devenir officier de police à son tour, espérant ainsi continuer le travail de son mari décédé. C'est probablement la femme la plus courageuse que j'ai jamais rencontré. Le destin avait l'air décidé de nous réunir. Je l'ai sauvé une première fois du crash d’un hélicoptère puis une seconde fois alors qu’elle était agressée par des voyous. Nous sommes rapidement devenus amis. Bien qu'humaine, Charlotte était remarquablement forte. Elle me sortit de nombreux mauvais pas, il faut bien l'avouer. J'ai rencontré son fils, le courageux petit Timmy et lui ait promit qu’un jour, je l’emmènerais voler. Ce gamin été adorable. Un regard échangé avec sa maman. Puis un baiser. Nous étions amoureux. Elle me permit de surmonter la mort de Candy et de regagner un semblant d'humanité. Mais notre histoire ne dura pas. Comme toutes mes histoires j'ai l'impression. J'espère juste qu'elle va bien, et que Timmy est rétabli.
  
  
  
• Psylocke : Betsy, une X-men comme moi. Nous nous sommes battus côte à côte à de nombreuses reprises. Nos sentiments ont grandi petit à petit. L'Institut est un endroit assez restreint et nous vivons tellement de choses intenses ensemble qu'il est presque inévitable que l'amour s'en mêle à un moment ou à un autre. Sans compter le fait que les X-Girls sont toutes plus belles les unes que les autres. Non mais sérieusement... Comment résister ? Regardez Ororo, Malicia ou Jean... Humm, Jean. Euh, je m'égare. Betsy et moi avons donc commencé à nous fréquenter régulièrement. Nous nous sommes même octroyés quelques vacances après avoir vaincu Apocalypse. Mais nous étions à deux moments différents de nos vies. Je voulais me consacrer davantage à mes affaires, et elle, aux X-men. Nous avons donc rompus. Mais le sort semblait s'acharner sur mes délicieuses amantes. Betsy fut tuée par un certain Vargas lors de sa mission suivante. La deuxième de mes petites amies mourraient sans que je puisse intervenir. Sa mort fut très dure à accepter, surtout qu'elle n'était pas la seule. Candy était morte. Betsy était morte. Étais-je maudis ? Je commençais à le penser.
  
  
  
• Husk : Alors que je pensais ne plus jamais réussir à m'ouvrir à quelqu'un, Paige est arrivée. Une nouvelle venue dans l'équipe des X-men. On a été pris au piège tout les deux lors d'une mission une fois et Paige fut grièvement blessée. J'ai réussi à la sauver grâce à mon sang guérisseur. Et une fois en entrainant une autre... Le syndrome du preux chevalier marche toujours apparemment. Et c'est ainsi qu'une nouvelle histoire d'amour chez les X-men vit le jour. Nous partagions les mêmes valeurs, les mêmes idéaux. Elle quitta même les X-Men avec moi pour fonder une œuvre caritative en faveur des mutants : Mutantes Sans Frontières. La seule ombre au tableau, Paige était jeune, tellement jeune. Je finis par me rendre à l'évidence. Je n'étais pas quelqu'un de bien pour elle. Trop compliqué, trop sombre, trop... pour elle. Elle devait faire des rencontres, flirter, s'amuser. Pas rester avec un 'vieux' mutant torturé. Elle devait vivre sa vie. Mais Paige m'avait redonné confiance en l'amour, c'est quelque chose que je n'oublierai jamais.
  
  
  
• Tiger: Kyana, ma belle Kyana. Certainement une des plus belles femmes qu'il m'ait été donné de rencontré. J'ai fais sa connaissance dans le bar où elle travaillait. Je peux vous dire que la moitié de la clientèle était là pour cette magnifique barmaid. Je suis sûre qu'elle ma prit pour un gros richou de plus quand elle m'a vu, ou peut-être pour un fou ou un pervers, tellement mon regard n'arrivait pas à se détacher d'elle. Je lui ai laissé ma carte, mais elle ne m'a jamais appelé. Heureusement, le destin allait de nouveau nous réunir. Elle a vu mon intervention au G8 quelques semaines plus tard. Elle a fait sa petite enquête sur moi, et est venu me rencontrer à l'Institut. Nous avons alors commencé à nous voir régulièrement. Kyana était d'une complexité sans pareil. Et surement ce qui m'attirait le plus chez elle. Elle semblait avoir beaucoup subi dans sa vie, tout comme moi d'ailleurs. Nous avons mis de nombreux mois à nous apprivoiser mutuellement avant de réellement commencer à s'aimer. Nous étions si différents, mais si semblables. Je ne compte plus le nombre de fois où on s'est battu contre les anti-mutants ou simplement des truands ensemble. J'ai appris à la connaitre pour qui elle était, et elle me connaissait mieux que personne également. Nous vivions dans notre bulle. Personne à l'Institut ne connaissait son existence. Je ne voulais pas revivre ce que j'avais vécu avec Candy et Betsy. Mais le sort semblait vouloir s'acharner. Kyana fut capturée et assassinée par le SHIELD. C'était trop. Je ne pouvais plus le supporter. Pas encore. Pas elle. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour retrouver et tuer tout les agents responsables. Puis je m'attaquerais à Tony Stark. Vengeance. Oui, c'était de la vengeance. Je ne laisserai pas sa mort impunie. Ils n'ont jamais vu un ange en colère. Ils ne connaissent pas Warren Worthington.