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 le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm)

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Jonathan McGregor
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Jonathan McGregor

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MessageSujet: le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm)   le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm) EmptyLun 10 Oct - 9:04

à l'époque, j'avais 23 ans. J'allais de ville en ville, donnant de petites représentations, ci et là.

Ce jour là, je conduisais la voiture que j'avais achetée d'occas' quelques jours plus tôt, et, malheureusement pour moi, la clim' semblait révéler un dysfonctionnement. La traversée du désert du Nevada par cette chaleur était particulièrement pénible. J'avais soif et je n'avais plus rien à boire. J'avais donc besoin de faire une pause pour me désaltérer, lorsque je vis cette station service avec supérette nommée "Carter's" et perdue au milieu de nulle part... Quelle chance! En arrivant à proximité, je ralentis et me garais la voiture à côté de la supérette. Il y avait déjà un camion et une voiture du type sportive, garés à côté de la boutique. Je vis qu'il y avait également quelques chambres à louer dans un bâtiment situé derrière la boutique. Ce lieu était, en fait, une véritable oasis au milieu du désert!

Je sortais de la voiture, la fermais, puis me dirigeais vers la boutique. J'entrais dans la boutique. Elle était divisée en deux parties. Sur la gauche, la boutique proprement dite, sur la droite, un bar auquel on pouvait commander un repas. C'était vraiment bien pensé! Idéal pour les voyageurs et les routiers passant par là.

Au bar, il y avait un type costaud et barbu qui prenait un verre. Derrière le bar, un cuisinier lui donnait une assiette qui contenait une pièce de viande accompagnée de frites. Au niveau de la boutique, un type blond, qui devait avoir environ mon âge, semblait draguer la caissière qui portait un badge l'identifiant comme "Peggy". La jeune femme avait l'air flattée par la baratin du blond.

J'avançais donc vers le bar afin de commander un rafraîchissement. M'installant au bar, je vis que le cuisinier portait également un badge identifiant où il était écrit "Sam". Le couple était donc clairement identifiable, c'était bien pratique. Sam remarqua qu'un type draguait Peggy, il gardait apparemment un oeil sur elle sans s'opposer à ce qui se passait pour autant. J'en déduis qu'il ne devait donc pas s'agir d'un couple... Peut-être que Sam et Peggy Carter étaient frère et sœur alors... Il avait l'air d'avoir à peu près le même âge, c'était donc plausible.

Je m'égarais un instant en pensée... Si j'avais eu un frère ou une sœur, ma vie aurait été bien différente je pense! Sam m'en sortit brusquement en me demandant ce que je voulais boire...

" Je prendrais bien une limonade bien fraîche pour commencer, et je vais regarder la carte pour commander à manger... ça creuse la route!
- ça marche! Et une limonade ici, une! "

Il servit une limonade dans un grand verre, avec deux glaçons et me tendit la carte lorsqu'il posa le verre sur le comptoir, le tout, avec le sourire. Je bus alors une gorgée de limonade en jetant un œil à la carte. J'entendais Peggy rire en écoutant le baratin du blond... Apparemment, c'était pas gagné d'avance pour lui! Je souris de la réaction de la jeune femme tout en gardant les yeux sur la carte.

HJ: Alors oui, le blond qui drague la caissière, c'est Johnny Storm!
Et ce RP vient deux ans avant l'instant présent. J'espère que ça te va...


Dernière édition par Jonathan McGregor le Ven 14 Oct - 10:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm)   le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm) EmptyLun 10 Oct - 12:14

Le Nevada. Paradis des rodéos nocturnes–pas forcément en toute légalité- et des roches à perte de vue. Au volant de sa Chevrolet Impala boostée par ses soins, Johnny voyait défiler les kilomètres de routes à vive allure. Il avait eu une idée des plus ingénieuses en « empruntant » le modèle de moteur confectionné par Red sur le Fantasticar car son bolide possédait désormais une vitesse absolument impressionnante. Ce soir, il comptait participer à la grande course du désert, évènement très prisé par tous les grands coureurs des Etats-Unis, et même au-delà.

Il voyait désormais apparaitre au loin les grandes montagnes de pierre et entre elles, le canyon d’où serait donné le départ de la course aux alentours de 23 heures. Johnny avait déjà couru deux fois sur ce rodéo intense : la première, il avait vu son engin se faire littéralement déchirer par une Mercedes absolument terrifiante. La seconde, il était parvenu à terminer la course à la sixième place. Cette année, il avait mis toutes les chances de son côté en s’achetant ce petit bijou aux performances étonnantes. Les Muscle Car étaient des voitures rigides et solides, ce qui lui permettrait de résister un peu mieux aux assauts de ces tordus de Mexicains qui risquaient ici leur vie pour gagner le pactole promis aux trois premiers. En plus de cela, le moteur mis au point par Red était d’une puissance phénoménale afin de permettre aux Fantastiques de se déplacer rapidement. En se procurant les plans, certes sans l’accord préalable de son beau-frère qui, il en était persuadé, lui pardonnerait, et en les modifiant afin de l’adapter à sa voiture, il obtenait un booste de vitesse incommensurable.

L’extérieur de la Chevrolet arborait une carrosserie également modifiée, permettant un aérodynamisme plus important et surtout, des couleurs à l’image de son pilote. Magnifique à l’extérieur, et surpuissant à l’intérieur. La peinture noire se voyait donc recouverte de flammes d’un rouge détonnant qui, il fallait l’avouer, en jetaient à mort !

Mais l’heure de la course n’était pas encore là. Le soleil était toujours très haut dans le ciel et, pour une fois dans un désert, pas le moindre nuage ne venait obscurcir le soleil et diminuer la chaleur qu’il dégageait. Cela ne représentait évidemment pas le moindre problème pour Johnny chez qui la température n’avait aucun impact. Qu’il fasse une chaleur torride ou un froid polaire, un simple claquement de doigts et son corps palliait aux difficultés rencontrées.

Mais pour l’instant, il ferait mieux de se trouver un endroit où il pourrait s’installer confortablement en sirotant une bonne tequila glacée. Et justement, il savait exactement où se trouvait un endroit de ce genre. En fait, il n’y en avait qu’un seul, et il était assez compliqué de le rater. Johnny enfonça la pédale d’accélérateur et vit le compteur dévorer les graduations jusqu’à atteindre les 200 km/h. Il fut ravi en entendant son Impala rugir et tracer à vitesse folle sur le bitume abimé du Nevada. Mieux valait que ses pneus profitent du bitume car, ce soir, ils rouleraient surtout sur le sable chaud et brûlant du désert.

La station-essence Carter’s représentait l’unique point de ravitaillement à plusieurs kilomètres à la ronde, et Peggy et son frère en avaient vite profité afin d’augmenter l’efficacité de leur affaire de manière à satisfaire le maximum de besoins. Ainsi, la station s’était équipée d’une supérette basique vendant le nécessaire ainsi que d’un pseudo-motel permettant une désaltération en cas de pépin. Johnny se gara sur la première place de parking disponible, celle qui était la plus proche de la partie « chambres à coucher ». D’ici, il aurait de quoi jeter un œil sur sa voiture en toute occasion en plus d’aller boire et manger à l’intérieur.

Peggy n’avait pas changé. Toujours ce même teint très bronzé à cause du soleil, et surtout, toujours cette même poitrine à couper le souffle. Ses longs cheveux bruns ondulaient au niveau de ses épaules et elle portait une sorte de micro-short qui mettait agréablement bien ses jambes en valeur. Au moment où Johnny s’assit au comptoir, elle se retourna et lui offrit un sourire. Il n’avait pas oublié cette soirée, l’an passé, qui s’était terminée dans le lit de la chambre qu’il avait louée juste derrière. Et il savait qu’elle n’avait pas oublié non plus.

La porte s’ouvrit et un nouveau client entra. Celui-ci semblait exténué et las par le désert, ce qui se comprenait très facilement. Il alla s’asseoir au fond mais Johnny n’y prêta guère beaucoup d’attention. Peggy captait à elle seule ses deux yeux ainsi que sa bouche. Non pas pour l’embrasser, non pas encore, simplement pour prendre un peu de ses nouvelles et surtout, réussir à la convaincre à nouveau de lui apporter un truc à grignoter dans sa chambre ce soir. Soit dit en passant, qu’elle lui serve ensuite de dessert.

- Peggy, laisse tomber cet abruti, et sers à Joe ses nouvelles frites tu veux ? Il faut aussi une limonade.

Lui, c’était Sam, le frère de Peggy. Il n’était pas difficile de remarquer à quel point il détestait Johnny. Peut-être cela était dû au fait que, l’an passé, il l’avait battu sur le rodéo en le dépassant juste avant la ligne d’arrivée. Johnny se retourna vers Sam, ses cheveux avaient encore poussé. Il sourit et lui lâcha d’un ton désinvolte.

- Moi aussi je suis heureux de te revoir Sam. C’est quoi cette coupe ? Tu veux te la jouer homme des cavernes maintenant ?
- L’homme des cavernes va t’éclater la gueule Storm, répliqua Sam en grognant et en faisant craquer ses jointures.
- Sam… Maugréa Peggy en s’interposant. - Attends au moins ce soir, à moins que t’ais peur de te prendre une nouvelle branlée ?
- J’ai pas besoin d’une caisse pour te défoncer !
- Sam ! Arrête tes conneries et regarde ça !

Peggy montra du doigt l’insigne au plafond sur laquelle étaient inscrits les mots « Ici, le Client est Roi ». Sam soupira et se relâcha un peu avant de piquer une frite dans le bol destiné à celui qui devait s’appeler Joe.

- T’as de la chance que ma sœur soit là pour te sauver la mise Storm.
- T’inquiète, je vais la remercier comme il se doit, fais-moi confiance pour ça.
- Johnny t’es pas obligé non plus d’en rajouter.
- Ok Ok Peggy, désolé.

Johnny commença à boire de sa tequila ananas quand cinq hommes firent irruption. Et vu la cagoule qu’ils portaient sur la tête, soit ils participaient à un bal costumé et n’avaient pas peur de la chaleur, soit ils avaient décidé de faire quelque chose de pas très bien.

- Oh non les mecs… ch’uis en vacances là…

Johnny soupira et retourna à sa tequila quand le premier homme sortit un MPKS de son blouson et menaça Peggy…
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MessageSujet: Re: le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm)   le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm) EmptyLun 10 Oct - 17:07

Apparemment, le blond, qui se nommait Johnny, semblait être un habitué et connaître assez bien Peggy et Sam. J'entendis que ces derniers étaient frère et sœur, mes soupçons furent donc confirmés. Ainsi, Johnny et Sam semblait s'apprécier assez peu, et Peggy faisait un peu tampon entre les deux hommes.

Pendant ce temps, je dégustais ma limonade. ça faisait du bien de boire quelque chose de frais! J'étudiais un peu le contenu de la carte qui était assez diversifié d'ailleurs. Il y en avait pour un peu toutes les bourses et surtout pour tous les goûts... C'était bien tout ce choix... Et en même temps, trop de choix, tue le choix! je ne savais pas quoi commander. Il y avait plusieurs plats qui me tentaient bien. C'était difficile de choisir.

J'entendis des clients entrer, et presque tout de suite, Johnny dire " Oh non les mecs… ch’uis en vacances là…". Intrigué par cette réflexion, je me retournais et vis que des hommes armés venaient d'entrer. Pourquoi Johnny avait-il dit ça? Il était flic ou quoi?! J'avais la possibilité de désarmer tous ces hommes rien qu'en n'y pensant... Je voulais rester discret... Mais un des hommes menaçait la sœur du cuisto... Je devais donc agir... et discrètement serait mieux. Je n'avais pas vraiment besoin de faire un effort pour ce genre d'action, il me suffisait d'y pensais. Là, tout en restant le plus calme possible, en visualisant les armes des cinq hommes, et sans bouger du bar, je bloquais les percuteurs. De cette façon, personne ne se prendrait une balle.
Je m'étais intéressé au fonctionnement des armes, lors de mes différentes recherches en bibliothèque, en me disant que ça pourrait me servir pour créer un tour. Je ne pensais pas que je me retrouverais un jour dans une telle situation...
Cependant, il fallait tout de même agir afin de maîtriser la situation. Mais que faire? Je tentais alors le dialogue...
" Restons calmes... Personne ne veut de blessés, n'est-ce pas? "
Je m'avançais alors doucement vers eux en mettant mes mains ouvertes à hauteur de mes épaules afin que les braqueurs voient que je n'avais rien et que je ne cherchais pas la bagarre. L'un d'eux me pointa alors de son arme, et dit alors:
" N'essaie pas de jouer au héros toi! Couche-toi au sol! D'ailleurs tout le monde va se coucher au sol pendant que la jolie minette va nous donner gentiment sa caisse. Aller on se dépêche, tout le monde au sol, j'ai dit!
- Vous voyez bien que vous lui faites peur... Lâchez-la et prenez-moi à sa place... "

Je m'approchais doucement et tendais déjà une main vers Peggy. Je tenais à ce qu'ils fassent cet échange. ça me simplifierait la tâche. Je m'adressais à la jeune femme qui semblait tétanisée.
" Ne vous inquiétez pas, ça va aller... " en lui faisant un clin d'œil.
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MessageSujet: Re: le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm)   le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm) EmptyLun 10 Oct - 18:22

Les hommes ne firent même pas attention à la remarque de Johnny. En même temps, vu le ton avec lequel il avait parlé et la délicieuse tequila qu’il était en train de siroter, il n’y avait pas la moindre chance que l’on puisse le remarquer. Sam à côté s’énerva à nouveau en lâchant.

- Génial ! Manquait plus que ça !

L’homme armé du pistolet-mitrailleur tira une balle en direction du plafond avant de la pointer dans la direction du gérant de la station. Peggy en eut le souffle coupé et parut même s’étouffer. Johnny aspira de toutes ses forces les ultimes gouttes de tequila à travers sa paille, moyennant un bruit assez désagréable. Pourtant, il n’attira toujours pas l’attention sur lui. Bizarre… Les criminels du Nevada n’avaient pas la télé pour ne pas avoir remarqué qu’ils avaient décidé de braquer la mauvaise station-service et au mauvais moment à cause du mauvais client qui s’y trouvait ?

Un nouvel acteur intervint sur scène, il s’agissait du mec arrivé tout à l’heure. Celui-ci s’avançait en levant les bras et en mettant ses mains vides en évidence afin de signifier son pacifisme. Le premier braqueur s’écria alors :

- N'essaie pas de jouer au héros toi! Couche-toi au sol! D'ailleurs tout le monde va se coucher au sol pendant que la jolie minette va nous donner gentiment sa caisse. Allez on se dépêche, tout le monde au sol, j'ai dit!

Mais le nouveau venu ne désespéra toujours pas et continua sur sa lancée. La voie de la non-violence semblait être celle qu’il favorisait. Il proposa d’ailleurs un échange entre Peggy et lui afin de la protéger. Plutôt héroïque le mec, force était de l’avouer. Johnny se mit à mâchouiller sa paille en espérant y déceler une ultime et infime minuscule gouttelette de cet alcool si réparateur mais n’y trouva rien. Il se leva et déposa son verre dans l’évier juste derrière le comptoir du bar avant de revenir à sa place. L’un des criminels l’interpella, semblant enfin remarquer sa présence.

- Hé tu fous quoi là ? T’as pas entendu ? On a dit tout le monde au sol !
- Ah bah non désolé j’ai pas entendu, répliqua Johnny de manière décontractée. Mais j’ai pas envie de me mettre à terre, le sol est dégueulasse et Sam est pas foutu de passer un balais correctement.
- Tu vas la fermer ta grosse gueule Storm ?!
- Allez ! Encore une fois passons dans la vulgarité ! Mais tu sais dire que ça Sam hein ? C’est pas possible un mec comme toi. Peggy comment tu peux supporter ce type ?
- Putain mais c’est quoi ton problème ? On a dit à terre. Couche-toi avant que je t' explose la cervelle.
- Mais c’est toi qui as un problème là ! J’ai dit que je voulais pas me mettre à terre !
- Oui vas-y nique-lui la gueule à ce con !
- Sam le jour où on te demandera ton avis ça voudra dire que les singes ont pris le pouvoir.
- Putain mec mets-toi par terre !

Le criminel s’approcha de Johnny et pointa son arme en direction de sa tempe, un sourire aux lèvres.

- Je compte jusqu’à trois ! Un… Deux… Deux-et-demi…
- Trois.

Au moment où Johnny lâcha ce mot, il lui saisit le poignet et mit l’arme parallèle à l’agresseur. Dans cette posture, il savait d’ores et déjà qu’il avait gagné l’affrontement. Lui attrapant le bras, il le souleva violemment et le fit passer au-dessus de son épaule avant de le jeter par terre. La réaction de ses équipiers ne se fit guère attendre. Les autres braqueurs, excepté celui qui s’occupait de Peggy et de l’autre client, pointèrent leurs armes en sa direction et appuyèrent sur la gâchette. Et ce qui se produisit fut tout simplement inexplicable. S’attendant à entendre le coup de feu retentir, Johnny eut pour réaction de laisser intervenir son pouvoir.

Des flammes vives et puissantes entourèrent son corps et se mélangèrent même avec lui. Il sentit la chaleur lui mordiller les membres et cela lui fit un bien fou. Rien n’était plus exaltant pour Johnny qu’utiliser son pouvoir dans une situation nécessitant son aide. L’aura de feu était donc effective et grâce à elle, il serait apte à se protéger des tirs ennemis sans trop d’efforts. Mais les tirs n’eurent même pas lieu ! La détente retentit bel et bien mais sans le bruit d’explosion qui aurait dû suivre. Johnny en fut littéralement abasourdi. Une arme qui s’enrayait, ce phénomène était plausible et tout à fait possible, mais trois d’un coup !? Il n’en crut pas ses yeux. Sans perdre trop de temps pour autant, il créa trois boules de feu et les envoya sur ses adversaires qui, eux aussi choqués par leur malchance, ne tentèrent même pas d’éviter et tombèrent au sol.

Employant sa pyrokinésie comme il savait si bien le faire, Johnny façonna ce qui ressemblait à des cages et enferma ses quatre victimes à l’intérieur. La prison était constituée de barreaux d’environ 700° chacun, de quoi dissuader toute tentative de s’enfuir. Il souffla de nouveau en n’ayant toujours pas compris la facilité de la situation et surtout, surtout le fait que les Carters auraient pu s’en sortir sans son aide ! Tournant la tête, il remarqua qu’il restait toujours le cinquième homme, celui avec le MPKS,à proximité de Peggy et du nouveau venu.

Johnny, vexé, se dit qu’il allait regarder comment ils allaient se débarrasser de son agresseur en grignotant dans les frites de Joe, dont la bouche était grande ouverte et depuis laquelle s’écoulait à présent un filet de bave. Si ça se trouve, ils n’auraient pas non plus besoin de son aide eux non plus. Remarquant que son pouvoir était toujours effectif, Johnny stoppa les flammes qui l’entouraient et retrouva sa tenue précédente littéralement carbonisée. Heureusement pour lui, il portait en-dessous sa combinaison de course, faite de la même matière que son costume de Torche Humaine, c’est-à-dire en particules instables résistant même au feu.
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MessageSujet: Re: le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm)   le braquage de la supérette Carter's (Johnny Storm) EmptyJeu 13 Oct - 11:06

Storm... Sam avait appelé le dragueur "Storm", Johnny de son prénom... ça me disait vaguement quelque chose ce nom... Johnny Storm... Pourquoi? Bonne question! Et pourquoi restait-il aussi calme aussi? Il n'avait pas un comportement normal aux vues des circonstances! Restant concentré sur les percuteurs, je laissais tomber ces interrogations pour le moment.

Puis Johnny Storm s'embrasa et devint une véritable torche humaine... Ah voilà! Il me semblait bien que ce nom me disait quelque chose! Johnny Storm alias "la torche" des "4 fantastiques"! J'avais donc un "frère" mutant à proximité pour débloquer la situation. Sachant que je n'étais donc pas seul, je me sentis plus tranquille à l'idée d'utiliser mes "talents" en public.

Johnny s'étant occupé de coincer tous les braqueurs, sauf un, il ne restait que celui qui pointait Peggy de son arme. Je m'adressais alors à lui.
" Tu sais que quand on donne un ordre, il faut être capable de le faire d'abord soi-même? Alors, couche-toi au sol! "
De la pensée, je plaquais le bandit au sol, ventre à terre, et écrasais son arme pour la réduire à l'état de boule de métal chiffonné avant même qu'elle ait atteint le sol. Puis je m'adressais à Peggy:
" Est-ce que ça va, mademoiselle?
- Oui... euh merci...
- Si vous aviez de quoi l'attacher, je m'en occuperai, parce que je ne vais pas le tenir comme ça indéfiniment... "
Dis-je en souriant.
Peggy me répondit, encore secouée par les évènements " Je vais voir ce que je peux trouver... ".

Puis je me retournais vers Johnny:
" Johnny Storm, hein? ça pourrait être bien d'en faire autant pour ceux que vous avez mis dans la cage de feu, vous ne pensez pas? "
Je regardais les hommes prisonniers de la cage de feu et réduisis leur arme au même état que celle de celui qui braquait la jeune femme un peu plus tôt.

Peggy revint très vite avec un large rouleau de ruban adhésif et me la tendit.
" Je n'ai que ça, désolée...
- Et ça ira très bien, ne vous inquiétez pas...
- mais qui êtes-vous?
- Jon, je suis... illusionniste itinérant. "

Tout en lui répondant, je me baissais et commençais à attacher le pauvre bougre qui avait essayé de braquer une boutique où se trouvaient deux mutants... J'en souris intérieurement... Il était venu au mauvais endroit, au mauvais moment, et tant mieux pour Peggy et Sam! Personne de blessé. Juste quelques frayeurs. Et c'était déjà fini.
Aussi, je me doutais que les questions ne s'arrêteraient pas là... Mais je pense qu'il y avait moyen qu'ils ne parlent pas de moi aux autorités qui viendraient chercher ces gaillards... Qu'après ce service rendu, ils m'en rendraient un autre, en retour, en taisant mon intervention. Après tout, j'étais toujours un mutant non déclaré...
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