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| Sujet: Le cas Shanique Dim 13 Nov - 19:43 | |
| Sujet : Shanique WrightNée le 17 octobre 1993 à Nashville, Tennessee. Identifiée mutante depuis août 2009, actuellement non-recensée. Vit actuellement à l'Institut Xavier. - Citation :
- Certains voient leurs capacités intellectuelles s’accroître sous l’effet de leurs pouvoirs ; notre sujet, lui, a plutôt tendance à se ramasser le Q.I. d’une huître. Le gène X lui octroie un contrôle exceptionnel sur l’activité cérébrale : elle est capable de la ralentir temporairement, aussi bien chez elle que chez d’autres, avec des effets aussi variés qu’étonnants.
Registre des manifestations
Niveau 1 - Citation :
- La peur, émotion introspective, sécrète une réaction de défense qui la plonge dans un état catatonique. Son regard s’éteint pour devenir vide, sans âme, tandis que son corps ne réagit plus que par réflexes musculaires : il recule face à la douleur, se crispe sous la pression ou maintient son équilibre si on le pousse. Elle dégage en fait si peu d’activité que son aura psychique en devient extrêmement discret, si bien que seule une intrusion ciblée peut l’atteindre. Au bout d’un moment (qui peut durer quelques secondes comme plusieurs heures), elle finit par émerger de son état second, sans en garder aucun souvenir.
Rapport nr. 1, dit des premiers émois. Lieu : Tennessee Durée : variables Raison : diverses Description : états catatoniques sévères, empêchant toute réaction en dehors des réflexes primaires. Le sujet n'en a gardé aucun souvenir.
Rapport nr. 2, dit du bagage de la mort. Lieu : Aéroport Kennedy, New-York Durée : quelques minutes Raison : bousculade dans la zone de récupération des bagages Description : perte de connaissance. S'est laissé entraîner plusieurs mètres sur le tapis roulant avant d'en avoir été tirée par les autres voyageurs. Toujours aucun souvenir, sinon une belle bosse et un peu de honte.
Rapport nr. 3, dit de la planche qui tue. Lieu : Central Park, New-York Durée : 30 secondes Raison : descente trop escarpée à bord d'un skateboard Description : perte de contrôle de l'engin, suivi d'un vol plané catastrophique. S'en tire avec quelques bleus, mais la jambe d'un vieil SDF fait partie des dégâts collatéraux. Plus de peur que de mal finalement, le sujet s'est même fait un ami. Liste des victimes
Niveau 1 - Citation :
- La colère, émotion extériorisante, lui ouvre les portes de la variante offensive de son pouvoir : quand ses yeux se mettent à briller, ce n’est plus son esprit mais ceux des autres qui en pâtissent. Bien sûr elle ne provoque rien d’aussi radical, ne serait-ce que parce que le crâne d’autrui est moins facile d’accès que le sien propre, mais elle peut perturber de manière aléatoire l’une de leurs capacités. Cela peut se traduire par une difficulté de trouver ses mots, une erreur de calcul, un acte manqué, ou encore un moment de distraction au moment où on s’y attendrait le moins. Cela lui donne un léger avantage lors de dispute, si ce n’est qu’elle termine systématiquement avec un mal de crâne carabiné.
Agent de l’Initative à Nashville (in What about your past?) Concentration – mécanique des gestes quotidiens Durée : quelques minutes. Raison : rage de ne pas être prise au sérieux. Résultat : distraction qui l’a conduit à jeter son dossier à la corbeille et à mettre un gobelet vide dans le courrier externe. Effet secondaire : forte migraine.
Secouriste anonyme (in Vol 714 pour l’Institut) Exploitation de la mémoire – mémoire à court terme Durée : indéterminée. Raison : exaspération à force d’expliquer qu’elle n’avait pas besoin de son aide. Résultat : est retourné chercher une valise qu’il avait en main. Effet secondaire : migraine.
Kitty Pryde (in Vol 714 pour l’Institut) Décodage du stimulus visuel – évaluation des distances Durée : une seconde. Raison : migraine de l’acte précédent + maladresse de la victime à l’évocation du « pouvoir qui rend con ». Résultat : vertige. Effet secondaire : augmentation de la douleur.
Niveau 2 - Citation :
- Elle commence à cibler les domaines à entraver, même si ses tâtonnements restent fort aléatoires. Elle a besoin d’un contact visuel régulier avec sa « victime » pour maintenir le trouble – si elle la perd de vue plus d’une dizaine de seconde, celle-ci récupère son intégrité mentale. Les étreintes psychiques qui n’excèdent pas les deux minutes n’entraînent plus de migraine ; au-delà, la douleur va en augmentant jusqu’à briser sa concentration. Même avec la plus grande abnégation, elle ne peut supporter cette torture plus de trois minutes – et encore, seulement si elle accepte de souffrir le martyre pendant encore une heure ou deux.
Divers passants (in De la connerie (sur)humaine) Exploitation de la mémoire – mémoire à court terme Durée : quelques secondes. Raison : tentative d'arrêter un méchant voleur + effet de foule. Résultat : air étourdi. Effet secondaire : vise de plus en plus mal. |
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